Comment parler à son enfant?
Je ne sais pas vous mais nous, nous lui parlons avec autant de considération et de respect qu’à un adulte. Je fais très attention à lui dire « s’il te plaît » et « merci », et à ne pas crier. J’évite, autant que faire se peut, le « non » que je remplace par « stop » ou « ça suffit ». Je lui explique pourquoi: danger, gêne, casse, etc.
Et surtout, je ne dis plus de gros mots. Depuis ma 1ère grossesse, j’ai notamment remplacé « putain » qui est excessivement vulgaire par « oh la vache ». Et on vient de me dire que c’était vulgaire aussi. Fichtre!
Cela me demande un effort considérable: pourquoi passer autant de temps en classe de français pour aujourd’hui ne plus utiliser le « nous » et ne prononcer que la moitié des négations…. non mais sérieusement! Même les livres pour enfants ne font pas correctement les négations. Au secours! Et c’est sans parler de la forme interrogative!
Alors je m’y mets patiemment. Si je ne le fais pas pour mes enfants qui sont une occasion formidable de m’améliorer, je ne le ferai jamais. « Tu as soif? » Devient « as-tu soif? » « On monte? » Devient « montons-nous? » Galère hein? Je vous avais prévenu. Il y en a des difficiles à assumer genre « puis-je avoir du fromage »…. l’ai-je seulement déjà employé celui-là? Je cherche mes mots, parfois sur google pour gagner en précision de langage. Saviez-vous que le triangle en volume s’appelle « prisme triangulaire »? Savoureux n’est-ce pas? Je vous recommande de lire http://askarchitecture.fr/projets/?unapproved=6972 les lois naturelles de l’enfant de Céline Alvarez qui est très inspirant et motivant!
Comment parler à son enfant
Comment parler à son enfant?
Je ne sais pas vous mais nous, nous lui parlons avec autant de considération et de respect qu’à un adulte. Je fais très attention à lui dire « s’il te plaît » et « merci », et à ne pas crier. J’évite, autant que faire se peut, le « non » que je remplace par « stop » ou « ça suffit ». Je lui explique pourquoi: danger, gêne, casse, etc.
Et surtout, je ne dis plus de gros mots. Depuis ma 1ère grossesse, j’ai notamment remplacé « putain » qui est excessivement vulgaire par « oh la vache ». Et on vient de me dire que c’était vulgaire aussi. Fichtre!
Cela me demande un effort considérable: pourquoi passer autant de temps en classe de français pour aujourd’hui ne plus utiliser le « nous » et ne prononcer que la moitié des négations…. non mais sérieusement! Même les livres pour enfants ne font pas correctement les négations. Au secours! Et c’est sans parler de la forme interrogative!
Alors je m’y mets patiemment. Si je ne le fais pas pour mes enfants qui sont une occasion formidable de m’améliorer, je ne le ferai jamais. « Tu as soif? » Devient « as-tu soif? » « On monte? » Devient « montons-nous? » Galère hein? Je vous avais prévenu. Il y en a des difficiles à assumer genre « puis-je avoir du fromage »…. l’ai-je seulement déjà employé celui-là? Je cherche mes mots, parfois sur google pour gagner en précision de langage. Saviez-vous que le triangle en volume s’appelle « prisme triangulaire »? Savoureux n’est-ce pas? Je vous recommande de lire http://askarchitecture.fr/projets/?unapproved=6972 les lois naturelles de l’enfant de Céline Alvarez qui est très inspirant et motivant!
À propos de l’auteur
Maman récidiviste: un 1er enfant début 2015 (un fils) et le 2eme fin 2016 (une fille). Je m'inspire de la parentalité positive, Montessori un petit peu, Madame Guéguen pour une enfance heureuse. Je fais ce que je peux avec tout ça et mes limites. Partageons et soutenons-nous dans l'exercice complexe de l'éducation que nous voulons bienveillante sans s'oublier soi !